domingo, 25 de septiembre de 2011

PENTAGRAM DE SILENCE

    Une note de l´oublie.
La mer bleue sur le ciel.
Des bleues espérances.
Une musique sur le temps
et dans l´air
une bleue symphonie de silence.

("Le voyage des âmes")

viernes, 23 de septiembre de 2011

LE VOYAGE DEFINITIF (un poème de Juan Ramón Jiménez)

Et je partirai. Et les oiseaux resteront en chantant;
 et mon verger restera avec son arbre vert,
 et avec son puits blanc.

 Chaque après-midi le ciel sera bleu et placide;
 et elles frapperont, tel qu´elles le font cet après-midi,
 les cloches du clocher.

 Ceux qui m'ont aimé vont mourir;
 et le village se renouvellera chaque année;
 et dans le coin de ce mon verger fleuri et chaulage,
 mon esprit vagabondera, nostalgique.

 Et je partirai; et je serai seul, sans foyer, sans arbre
 vert, sans un puits blanc,
 sans un ciel bleu et placide...
 Et les oiseaux resteront en chantant.

   (Le poème a été traduit par Blanca Langa)

miércoles, 21 de septiembre de 2011

DES MOTS SUR LA VIE

   Nous vivons comme si nous étions éternels. Comme si notre vie n'allait jamais finir. On oublie qu´à la fin de la journée, la nuit vient toujours. Ou vice-versa. Mais que tout achève et on se termine. Et que c´est là où la grandeur réside précisément : nous savoir acculés à finir et à commencer à nouveau le cycle de la vie. Vivons comme si c´était la dernière journèe qu´on va régarder le soleil. Soyons hereux aujourd´hui.

lunes, 19 de septiembre de 2011

JE SAIS

   Je sais comment finir
un beau dessin?.
Je sais comment vivre
avec peu de choses,
comment faut-il respirer
sous l´eau,
comment faire un soleil rond,
une lune orange,
un cadeau de Nöel?.
Je sais comment te dire
que tout va bien
quand tout va mal?.
Je sais comment prendre
les mains des bebés
pour qu´ils ne pleurent plus?.
Je sais pas mal de choses,
mais je ne sais pas
comment survivre sans toi.

domingo, 18 de septiembre de 2011

ADULTES

   On grandit et on devient plus grands. On croit que nous serons des adultes hereux, et la vie nous montre que les adultes ont, eux aussi, des soucis et des rémords et des tristesses. Un jour on se voit dans un corps qu´on reconnait pas. Où sont les garçons et les filles qui dessinaient des papillons sur la table?. Où sont les enfants qui avaient toujours des fleurs pour le coeur d´un colibri?

sábado, 17 de septiembre de 2011

BLANCA LANGA HERNÁNDEZ

   Blanca Langa Hernández est une prof, membre de l´ Asociation Aragonese d´Écrivains  et du Centre d´Estudes Bilbilitains.

   POÉSIE:
«Cimetière des moineaux» (Soria, 1989), Gerardo Diego Poetry Prize, 1988, «C´est peut-être la lumière» (CEB, (CEB, IFC, Calatayud, 1996),  “Des franges d'ombre", le Prix de Poésie "La Sainte Isabelle de l'Aragon Règne du Portugal", 1999.
Antologies: "Poèmes à une voix vivante  IIIe" (l'Institution Ferdinand Catholique, 1994) et "L'autre voix. Une poésie féminine en La Rioja (1982-2005)".

-Re-édition de "Cimetière des moineaux", Juin 2011. Édition illustrée avec des peintures de Mercedes Torres López, poèmes lus par José Carlos Álvarez  et l'auteur elle-même, vidéo par Pedro Bendicho, musique de Saraï  Martín et des photos par Macario Hernando.

  PROSE:
«Elles» (CPR de Calatayud magazine), et "Kamar" (Magazine "Zangalleta", Juin 2003) et une lettre d'amour en avril 2011 vainqueur du concours de lettres d'amour au programme «C´est l´amour», ES radio, intitulée «Je ne t'aime plus" (publié dans l'anthologie "Artegrafía”, Órbita literaria, mai 2011 ).

Blogs où elle écrit: